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Dieu est Bon
30 mars 2019

Les deux incarnations complètent la signification de l’incarnation

 Paroles de Dieu concernées :

 La première incarnation avait pour but de racheter les hommes du péché, de les racheter par le corps charnel de Jésus, c’est-à-dire que depuis la croix, Il a sauvé les hommes, mais le tempérament satanique corrompu est resté en eux. Le but de la deuxième incarnation n’est plus de servir de sacrifice d’expiation, mais de sauver complètement ceux qui ont été rachetés du péché. C’est ainsi pour que ceux qui sont pardonnés puissent être délivrés de leurs péchés, complètement purifiés et, en obtenant un changement de tempérament, se dégager de l’influence des ténèbres de Satan et retourner devant le trône de Dieu. L’homme peut être pleinement sanctifié seulement de cette manière. À l’ère de la Grâce après que l’ère de la Loi prit fin, Dieu a commencé l’œuvre du salut qui se continue jusqu’aux derniers jours quand Il purifiera complètement l’humanité en jugeant et châtiant les hommes pour leur rébellion. Alors seulement Dieu achèvera Son œuvre du salut et entrera dans le repos. […] Les hommes reçoivent le salut complet de Dieu grâce à l’incarnation de Dieu, et non directement du ciel qui répond à leurs prières, car, les hommes étant charnels, ils sont incapables de voir l’Esprit de Dieu et encore moins capables de s’approcher de Son Esprit. Les hommes ne peuvent s’associer qu’avec la chair incarnée de Dieu et c’est seulement ainsi que les hommes peuvent comprendre toutes les paroles et toutes les vérités et recevoir la plénitude du salut. La seconde incarnation suffira pour débarrasser les hommes de leurs péchés et pour pleinement les purifier. Par conséquent, la seconde incarnation mènera à sa fin toute l’œuvre de Dieu dans la chair et complètera la signification de l’incarnation de Dieu.

  Extrait de « Le mystère de l’incarnation (4) », dans La Parole apparaît dans la chair

 Lorsque Jésus accomplissait Son œuvre, les hommes Le connaissaient encore de manière vague et imprécise. Les hommes ont toujours cru qu’Il était le fils de David et ont proclamé qu’Il était un grand prophète, le Seigneur bienveillant qui rachetait les péchés des hommes. Certains, grâce à leur foi, ont été guéris simplement en touchant le bord de Son vêtement ; les aveugles ont retrouvé la vue et même les morts sont revenus à la vie. Cependant, les hommes ne pouvaient pas découvrir le tempérament satanique corrompu profondément enraciné en eux ni ne savaient comment le chasser. Les hommes ont reçu de nombreuses grâces comme la paix et le bonheur de la chair, la bénédiction de toute la famille à cause de la foi d’un seul, la guérison des maladies et ainsi de suite. Le reste relevait des bonnes actions des hommes et de leur apparence pieuse ; si les hommes pouvaient vivre sur ces fondations, alors ils étaient considérés comme de bons croyants. Seuls de tels croyants pouvaient entrer au ciel après la mort, ce qui signifie qu’ils étaient sauvés. Mais, durant leur vie, ces gens ne comprenaient pas du tout la voie de la vie. Ils ne faisaient que commettre des péchés pour ensuite les confesser, répétant constamment le cycle sans faire aucun progrès vers le changement de leur tempérament ; telle était la condition des hommes à l’ère de la Grâce. Les hommes ont-ils été complètement sauvés ? Non ! Par conséquent, après que cette étape est terminée, reste le travail de jugement et de châtiment. Cette étape purifie les hommes par la parole pour donner à l’homme un chemin à suivre. Cette étape ne serait pas fructueuse ou signifiante si elle continuait l’expulsion des démons, car la nature pécheresse des hommes ne serait pas extirpée et les hommes se limiteraient au pardon des péchés. Par le sacrifice d’expiation, les péchés des hommes ont été pardonnés, car l’œuvre de la crucifixion a déjà pris fin et Dieu l’a emporté sur Satan. Mais le tempérament corrompu des hommes demeure en eux et les hommes peuvent encore pécher et résister à Dieu ; Dieu n’a pas acquis l’humanité. Voilà pourquoi à cette étape de l’œuvre Dieu utilise la parole pour dévoiler le tempérament corrompu des hommes et les faire pratiquer en conformité avec la bonne voie. Cette étape est plus signifiante que la précédente, et plus fructueuse, car c’est maintenant la parole qui approvisionne directement la vie des hommes et qui permet au tempérament des hommes d’être complètement renouvelé ; c’est une étape beaucoup plus complète de l’œuvre. Par conséquent, l’incarnation dans les derniers jours a achevé la signification de l’incarnation de Dieu et a terminé complètement le plan de gestion de Dieu pour sauver l’humanité.

  Extrait de « Le mystère de l’incarnation (4) », dans La Parole apparaît dans la chair

 Le premier Dieu incarné n’a pas achevé l’œuvre de l’incarnation ; Il n’a achevé que la première étape de l’œuvre qu’il fallait que Dieu fasse dans la chair. Ainsi, afin de terminer l’œuvre d’incarnation, Dieu est revenu dans la chair une fois de plus, vivant dans toute la normalité et la réalité de la chair, c’est-à-dire, manifestant la Parole de Dieu dans une chair tout à fait normale et ordinaire, achevant ainsi l’œuvre qu’Il n’a pas terminée dans la chair. La seconde chair incarnée est par essence semblable à la première, mais elle est encore plus réelle, encore plus normale que la première. […] C’est la chair de Jésus qui a été clouée sur la croix, Sa chair qu’Il a donnée en sacrifice d’expiation ; c’est par une chair avec une humanité normale qu’Il a vaincu Satan et sauvé complètement l’homme de la croix. Et c’est en étant une chair entière que le second Dieu incarné accomplit l’œuvre de conquête et vainc Satan. Seule une chair complètement normale et réelle peut réaliser l’œuvre de conquête dans son intégralité et faire un puissant témoignage. C’est-à-dire que l’œuvre de[a] l’homme conquérant est rendue effective par la réalité et la normalité de Dieu dans la chair, et non pas par des miracles surnaturels et des révélations. Le ministère de ce Dieu incarné consiste à parler, et donc à conquérir et à perfectionner l’homme ; en d’autres termes, l’œuvre de l’Esprit accomplie dans la chair, le devoir de la chair, c’est de parler et donc de conquérir, d’exposer, de perfectionner et d’éliminer complètement l’homme. Et c’est donc dans l’œuvre de conquête que l’œuvre de Dieu dans la chair sera accomplie entièrement. Le travail rédempteur initial n’était que le début de l’œuvre d’incarnation ; la chair qui fait l’œuvre conquérante achèvera toute l’œuvre de l’incarnation. En genre, l’un est masculin et l’autre féminin ; en cela le sens de l’incarnation de Dieu a été achevé. Il dissipe les idées fausses de l’homme sur Dieu : Dieu peut devenir à la fois homme et femme, et le Dieu incarné est par essence sans genre. Il a fait l’homme et la femme, et Il ne fait pas la différence entre les genres. Dans cette étape de l’œuvre, Dieu n’accomplit pas de signes et de prodiges, de sorte que l’œuvre atteindra ses résultats à l’aide des paroles. De plus, la raison en est que l’œuvre de Dieu incarné cette fois n’est pas de guérir les malades et de chasser les démons, mais de conquérir l’homme par la parole, c’est-à-dire que l’aptitude naturelle de cette chair incarnée de Dieu est de parler et de conquérir l’homme, mais non de guérir les malades et chasser les démons. Son œuvre dans l’humanité normale n’est pas de faire des miracles, ni de guérir les malades et de chasser les démons, mais de parler, et ainsi, aux yeux des gens, la seconde chair incarnée semble beaucoup plus normale que la première. Les gens voient que l’incarnation de Dieu n’est pas un mensonge ; mais ce Dieu incarné est différent de Jésus incarné, et bien qu’Ils soient tous deux le Dieu incarné, Ils ne sont pas tout à fait les mêmes. Jésus possédait une humanité normale, une humanité ordinaire, mais Il était accompagné de nombreux signes et miracles. Dans ce Dieu incarné, les yeux de l’homme ne verront ni signes ni prodiges, ni la guérison des malades, ni la chasse aux démons, ni la marche sur la mer, ni le jeûne pendant quarante jours… Il ne fait pas la même œuvre que Jésus, non pas parce que Sa chair est par essence différente de celle de Jésus, mais parce que ce n’est pas de Son ministère de guérir les malades et de chasser les démons. Il ne détruit pas Sa propre œuvre, ne perturbe pas Sa propre œuvre. Puisqu’Il conquiert l’homme par Ses vraies paroles, il n’est pas nécessaire de le réduire aux miracles, et donc cette étape consiste à achever l’œuvre de l’incarnation. Le Dieu incarné que tu vois aujourd’hui est complètement de chair, et il n’y a rien de surnaturel en Lui. Il tombe malade comme les autres, a besoin de nourriture et de vêtements tout comme les autres, tout en étant entièrement de chair. Si, cette fois-ci, Dieu incarné manifestait des signes et des prodiges surnaturels, s’Il guérissait les malades, chassait des démons ou pouvait tuer d’une seule parole, comment l’œuvre de conquête pourrait-elle se réaliser ? Comment l’œuvre pourrait-elle être répandue parmi les nations païennes ? […] Dans les derniers jours, Dieu réalise l’œuvre de conquête dans une chair ordinaire et normale ; Il ne soigne pas les malades, ne sera pas crucifié pour l’homme, mais prononce simplement des paroles dans la chair, conquiert l’homme dans la chair. Seule une telle chair est la chair incarnée de Dieu ; seule une telle chair peut achever l’œuvre de Dieu dans la chair.

  Extrait de « L’essence de la chair habitée par Dieu », dans La Parole apparaît dans la chair

 Pourquoi dis-Je que le sens de l’incarnation n’était pas complet dans l’œuvre de Jésus ? Parce que la Parole ne S’est pas entièrement faite chair. Ce que Jésus a accompli n’était qu’une partie de l’œuvre de Dieu dans la chair ; Il n’a fait que l’œuvre de rédemption et n’a pas fait l’œuvre consistant à gagner complètement l’homme. Pour cette raison, Dieu est devenu chair une nouvelle fois dans les derniers jours. Cette étape de l’œuvre est aussi réalisée dans une chair ordinaire, faite par un être humain tout à fait normal, quelqu’un dont l’humanité n’est pas du tout transcendante. En d’autres termes, Dieu est devenu un être humain complet, et c’est une personne dont l’identité est celle de Dieu, un être humain complet, une chair complète, qui accomplit l’œuvre. Au regard de l’homme, Il est juste une chair qui n’est pas transcendante du tout, une personne très ordinaire qui peut parler le langage du ciel, qui ne montre aucun signe de miracle, n’opère aucun miracle, expose encore moins la vérité intérieure de la religion dans les grandes salles de réunion. Aux yeux du monde, l’œuvre de la seconde chair incarnée semble être tout à fait différente de la première, à tel point que les deux semblent n’avoir rien en commun, et rien de la première œuvre ne peut être vu cette fois. […] La seconde chair incarnée ne vise pas à approfondir ou à renforcer l’impression de la première chair dans les esprits des gens, mais à la compléter et à la perfectionner, à approfondir la connaissance que l’homme a de Dieu, à briser toutes les règles qui existent dans le cœur des gens et à effacer les images fallacieuses de Dieu dans leur cœur. On peut dire qu’aucune étape prise isolément de l’œuvre propre de Dieu ne peut donner à l’homme une connaissance complète de Lui ; chacune ne donne qu’une partie, pas l’intégralité. Bien que Dieu ait exprimé Son tempérament en intégralité, à cause des limites des facultés de l’homme à comprendre, sa connaissance de Dieu demeure incomplète. Il est impossible, par le langage humain, de transmettre l’intégralité du tempérament de Dieu ; comment une seule étape de Son œuvre peut-elle exprimer pleinement Dieu ? Il œuvre dans la chair sous la couverture de Son humanité normale, et on ne peut Le connaître que par les expressions de Sa divinité, non par Son enveloppe corporelle. Dieu vient dans la chair pour permettre à l’homme de Le connaître par Ses différentes œuvres, et aucune étape de Son œuvre ne ressemble à une autre. Ce n’est que de cette façon que l’homme peut avoir une pleine connaissance de l’œuvre de Dieu dans la chair, et qui n’est pas confinée à une seule facette.

  Extrait de « L’essence de la chair habitée par Dieu », dans La Parole apparaît dans la chair

 Jésus a fait une étape de l’œuvre qui n’a accompli que l’essence de « la Parole était avec Dieu » : la vérité de Dieu était avec Dieu et l’Esprit de Dieu était avec la chair et était inséparable de Lui, c’est-à-dire, la chair de Dieu incarné était avec l’Esprit de Dieu, ce qui est une preuve plus grande que Jésus incarné était la première incarnation de Dieu. Cette étape de l’œuvre a accompli le sens intérieur de « la Parole devient chair », a donné une signification plus profonde à « la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu » et te permet de croire fermement aux mots : « Au commencement était la Parole. » C’est-à-dire, qu’au moment de la création, Dieu avait des paroles, Ses paroles étaient avec Lui et inséparables de Lui, et l’ère finale rend encore plus clairs le pouvoir et l’autorité de Ses paroles et permet à l’homme de voir toutes Ses paroles, d’entendre toutes Ses paroles. Telle est l’œuvre de l’ère finale. […] Parce que c’est l’œuvre de la seconde incarnation – et la dernière fois que Dieu devient chair –, elle complète parfaitement la signification de l’incarnation, elle réalise minutieusement toute l’œuvre de Dieu dans la chair et l’annonce, et elle met fin à l’ère de l’existence de Dieu dans la chair.

  Extrait de « Pratique (4) », dans La Parole apparaît dans la chair

 À l’ère de la Grâce, Dieu n’a pas fait l’œuvre de la parole, mais a simplement décrit la crucifixion afin de racheter l’humanité tout entière. La Bible affirme seulement la raison de la crucifixion de Jésus et montre les souffrances qu’Il a endurées sur la croix et comment l’homme devrait être crucifié pour Dieu. Pendant cette ère, toute l’œuvre accomplie par Dieu était centré sur la crucifixion. Pendant l’ère du Règne Dieu incarné prononce des paroles pour conquérir tous ceux qui croient en Lui. Tel est la Parole apparaissant dans la chair ; Dieu est venu au cours des derniers jours pour faire cette œuvre, c’est-à-dire qu’Il est venu pour accomplir la signification réelle de la Parole apparaissant dans la chair. Il prononce uniquement des paroles, et des faits sont rarement produits. Telle est l’essence même de la Parole apparaissant dans la chair, et quand Dieu incarné prononce Ses paroles, c’est la manifestation de la Parole dans la chair, c’est la Parole venue dans la chair. « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu, et la Parole a été faite chair. » Ceci – l’œuvre de la manifestation de la Parole dans la chair – est l’œuvre que Dieu accomplira dans les derniers jours ; et c’est le dernier chapitre de Son entier plan de gestion. Ainsi Dieu doit venir sur la terre et manifester Ses paroles dans la chair. Ce qui est fait aujourd’hui, ce qui sera fait à l’avenir, ce qui sera accompli par Dieu, la destination finale de l’homme, ceux qui seront sauvés, ceux qui seront détruits, et ainsi de suite – cette œuvre qui devrait être achevée à la fin a été clairement indiquée et vise l’accomplissement de la signification réelle de la Parole apparaissant dans la chair. La constitution et les décrets administratifs qui ont été précédemment émis, ceux qui seront détruits, ceux qui entreront dans le repos – toutes ces paroles doivent être accomplies. Telle est principalement l’œuvre accomplie par Dieu incarné au cours des derniers jours. Il fait comprendre aux gens où appartiennent ceux qui sont prédestinés par Dieu et où appartiennent ceux qui ne sont pas prédestinés par Dieu, aussi comment Son peuple et Ses fils seront classés, ce qui arrivera au pays d’Israël, ce qui arrivera à l’Égypte – à l’avenir, chacune de ces paroles sera accomplie. Les étapes de l’œuvre de Dieu s’accélèrent. Dieu utilise la parole pour exposer à l’homme ce qui doit être fait dans chaque ère, ce qui doit être fait par Dieu incarné dans les derniers jours, Son ministère qui doit être effectué, et toutes ces paroles ont pour but d’accomplir la signification réelle de la Parole apparaissant dans la chair.

  Extrait de « Tout est accompli par la parole de Dieu », dans La Parole apparaît dans la chair

 Dans cette étape, que Dieu incarné supporte l’adversité ou accomplisse Son ministère, Il le fait pour compléter le sens de l’incarnation, car c’est la dernière incarnation de Dieu. Dieu ne peut être incarné que deux fois. Il ne peut y avoir de troisième fois. La première incarnation était en homme, la seconde en femme, et ainsi l’image de la chair de Dieu est complétée dans l’esprit de l’homme ; de plus, les deux incarnations ont déjà achevé l’œuvre de Dieu dans la chair. La première fois que Dieu incarné possédait une humanité normale, pour compléter le sens de l’incarnation. Cette fois, Il possède aussi l’humanité normale, mais le sens de cette incarnation est différent : il est plus profond et Son œuvre est d’une plus grande importance. La raison pour laquelle Dieu est à nouveau devenu chair est de compléter le sens de l’incarnation. Lorsque Dieu aura complètement achevé cette étape de Son œuvre, le sens entier de l’incarnation, c’est-à-dire l’œuvre de Dieu dans la chair, sera complet, et il n’y aura plus d’œuvre à réaliser dans la chair. C’est-à-dire, désormais, Dieu ne viendra plus jamais en chair pour faire Son œuvre.

  Extrait de « L’essence de la chair habitée par Dieu », dans La Parole apparaît dans la chair

 (Passage sélectionné de la parole de Dieu)

 Les deux incarnations sont l’accomplissement de la signification de l’incarnation

 Chaque étape de l’œuvre faite par Dieu a sa propre signification pratique. En ce temps-là, quand Jésus est venu, Il était un homme, mais lorsque Dieu vient cette fois, Il est une femme. À partir de cela, tu peux voir que Dieu a créé l’homme ainsi que la femme pour le bien de Son œuvre et, avec Lui, il n’y a pas de distinction de genre. Lorsque Son Esprit vient, Il peut prendre chair, quelle qu’elle soit, comme Il le souhaite et cette chair peut Le représenter. Qu’elle soit homme ou femme, elle peut représenter Dieu tant qu’elle est Sa chair incarnée. Si Jésus était apparu en tant que femme quand Il est venu, en d’autres termes, si une petite fille, et non un garçon, avait été conçue par le Saint-Esprit, cette étape de l’œuvre aurait tout de même été accomplie. Si tel avait été le cas, alors l’étape actuelle de l’œuvre devrait plutôt être accomplie par un homme, mais l’œuvre serait tout de même accomplie. L’œuvre réalisée à l’une ou l’autre des étapes a la même signification ; aucune étape de l’œuvre n’est répétée ni n’entre en conflit avec l’autre. À l’époque, lorsqu’Il réalisait Son œuvre, Jésus était appelé le Fils unique et « Fils » implique le genre masculin. Alors pourquoi le Fils unique n’est-Il pas mentionné à l’étape actuelle ? La raison en est que les exigences de l’œuvre ont nécessité un changement de genre, différent de celui de Jésus. Avec Dieu, il n’y a pas de distinction de genre. Il réalise Son œuvre comme Il le désire et, en réalisant Son œuvre, Il n’est soumis à aucune restriction, mais Il est particulièrement libre. Pourtant, chaque étape de l’œuvre a sa propre signification pratique. Dieu S’est fait chair deux fois et il va de soi que Son incarnation dans les derniers jours est la dernière. Il est venu pour révéler tous Ses actes. Si, à cette étape, Il ne S’était pas fait chair personnellement pour que l’homme puisse en témoigner, l’homme s’en tiendrait toujours à la notion que Dieu est seulement un homme, pas une femme. Avant cela, toute l’humanité croyait que Dieu ne pouvait être qu’un homme et qu’une femme ne pouvait pas être appelée Dieu, car toute l’humanité considérait que l’homme avait autorité sur la femme. Elle croyait qu’aucune femme ne pouvait avoir l’autorité, mais seulement l’homme. De plus, elle disait même que l’homme était le chef de la femme et que la femme devait obéir à l’homme et ne pouvait pas le surpasser. Dans le passé, quand on disait que l’homme était le chef de la femme, cela était destiné à Adam et Ève qui avaient été tentés par le serpent, et non à l’homme et à la femme tels qu’ils avaient été créés par l’Éternel au commencement. Bien sûr, une femme doit obéir à son mari et l’aimer et un mari doit apprendre à nourrir et soutenir sa famille. Tels sont les lois et les décrets édictés par l’Éternel auxquels les hommes doivent se soumettre au cours de leur vie sur terre. L’Éternel a dit à la femme : « tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi. » Il a parlé ainsi dans le seul but que les hommes (c’est-à-dire l’homme ainsi que la femme) puissent vivre une vie normale sous la domination de l’Éternel, et dans le seul but que la vie des hommes puisse avoir une structure et ne se sombre pas dans le désordre. Par conséquent, l’Éternel a élaboré des règles appropriées aux agissements de l’homme et de la femme, mais cela ne concernait que l’ensemble des êtres créés vivant sur terre et n’avait aucun rapport avec la chair incarnée de Dieu. Comment Dieu pourrait-Il être identique à Sa création ? Ses paroles ne s’adressaient qu’à l’humanité appartenant à Sa création ; Il a établi des règles pour l’homme et la femme afin que l’humanité puisse vivre une vie normale. Au commencement, quand l’Éternel a créé l’humanité, Il a fait deux genres d’êtres humains – l’homme et la femme – et donc Sa chair incarnée a aussi été différenciée en homme et en femme. Il n’a pas décidé de Son œuvre en se basant sur les paroles qu’Il a adressées à Adam et Ève. Les deux fois où Il a pris chair ont été entièrement déterminées suivant Sa pensée à l’époque où Il a d’abord créé l’humanité, c’est-à-dire qu’Il a accompli l’œuvre de Ses deux incarnations en se basant sur l’homme et la femme avant qu’ils ne soient corrompus. Si l’humanité prenait les paroles adressées par l’Éternel à Adam et Ève qui avaient été tentés par le serpent, et les appliquait à l’œuvre de l’incarnation de Dieu, Jésus n’aurait-Il pas aussi à aimer Sa femme comme Il le devrait ? Ainsi, Dieu serait-Il toujours Dieu ? Et de ce fait, serait-Il encore capable d’accomplir Son œuvre ? Si l’incarnation de la chair de Dieu en femme était une erreur, alors la création de la femme par Dieu n’aurait-elle pas été aussi une erreur d’extrême importance ? Si l’homme croit encore qu’il serait erroné que Dieu soit incarné en femme, alors Jésus, qui ne S’est pas marié et était donc incapable d’aimer Sa femme, ne serait-Il pas autant dans l’erreur que l’incarnation actuelle ? Puisque tu utilises les paroles adressées par l’Éternel à Ève pour mesurer la vérité de l’incarnation de Dieu du jour présent, alors tu dois utiliser les paroles de l’Éternel adressées à Adam pour juger le Seigneur Jésus qui S’est fait chair dans l’ère de la Grâce. Ces deux choses ne sont-elles pas identiques ? Puisque tu prends la mesure du Seigneur Jésus d’après l’homme qui n’avait pas été tenté par le serpent, alors tu ne dois pas juger la vérité de l’incarnation d’aujourd’hui d’après la femme qui avait été tentée par le serpent. Cela serait injuste ! Si tu prononçais un tel jugement, cela prouverait que tu as perdu la raison. Lorsque l’Éternel S’est fait chair à deux reprises, le genre de Sa chair était lié à l’homme et à la femme qui n’avaient pas été tentés par le serpent ; Il S’est fait chair à deux reprises d’après l’homme et la femme qui n’avaient pas été tentés par le serpent. Ne croyez pas que la masculinité de Jésus était la même que celle d’Adam qui a été tenté par le serpent. Les deux n’ont aucun rapport et les deux hommes de nature différente. Il est certain que la masculinité de Jésus ne prouve pas qu’Il soit seulement le chef de toutes les femmes, mais pas de tous les hommes ? N’est-Il pas le Roi de tous les Juifs (aussi bien les hommes que les femmes) ? Il est Dieu Lui-même, pas seulement le chef de la femme, mais aussi le chef de l’homme. Il est le Seigneur de toutes les créatures et le chef de toutes les créatures. Comment pourrais-tu déterminer la masculinité de Jésus comme étant le symbole du chef de la femme ? Cela ne serait-il pas un blasphème ? Jésus est un homme qui n’a pas été corrompu. Il est Dieu ; Il est le Christ ; Il est le Seigneur. Comment pourrait-Il être un homme comme Adam qui a été corrompu ? Jésus est la chair portée par l’Esprit très saint de Dieu. Comment pourrais-tu dire qu’Il est un Dieu qui possède la masculinité d’Adam ? Dans ce cas, toute l’œuvre de Dieu n’aurait-elle pas été erronée ? L’Éternel aurait-Il été capable d’incorporer dans Jésus la masculinité d’Adam qui a été tenté par le serpent ? L’incarnation du temps présent n’est-elle pas un autre exemple de l’œuvre de Dieu incarné qui est différent de Jésus par Son genre, mais semblable à Lui par Sa nature ? Oses-tu toujours dire que Dieu incarné ne peut pas être une femme parce que la femme a été la première à être tentée par le serpent ? Oses-tu toujours dire que, puisque la femme est très impure et la source de la corruption de l’humanité, Dieu ne peut absolument pas prendre chair en femme ? Oses-tu encore maintenir que « la femme doit obéir à l’homme et ne doit jamais manifester ou représenter directement Dieu » ? Tu n’as pas compris dans le passé, mais peux-tu maintenant continuer à blasphémer contre l’œuvre de Dieu, en particulier la chair incarnée de Dieu ? Si tu es incapable de voir cela en toute clarté, tu ferais mieux de tenir ta langue de peur que ta stupidité et ton ignorance ne soient révélées et ta laideur exposée. Ne crois pas que tu comprennes tout. Je te dis que tout ce que tu as vu et expérimenté est insuffisant pour que tu comprennes ne serait-ce qu’un millième de Mon plan de gestion. Alors pourquoi agis-tu de façon si arrogante ? La simple petite parcelle de talent et le savoir minimal que tu possèdes sont insuffisants à Jésus pour qu’Il les utilise, même pour une seconde de Son œuvre ! Quelle expérience as-tu réellement ? Ce que tu as vu et tout ce que tu as entendu dans ta vie et ce que tu as imaginé, tout cela est inférieur à l’œuvre que Je réalise dans l’espace d’un instant ! Tu ferais mieux de ne pas pinailler ni critiquer. Quel que soit ton degré d’arrogance, tu es simplement une créature qui ne vaut pas mieux qu’une fourmi ! Tout ce que tu possèdes dans ton ventre vaut moins que ce qu’une fourmi porte dans le sien ! Ne pense pas que le simple fait d’avoir acquis de l’expérience et de l’ancienneté t’autorise à gesticuler sauvagement et faire de beaux discours. Ton expérience et ton ancienneté ne sont-elles pas le fruit des paroles que J’ai prononcées ? Crois-tu que tu les as acquises par ton propre travail et labeur ? Aujourd’hui, tu vois que Je suis devenu chair, et c’est seulement grâce à cela que tu es rempli de tels concepts si riches et que tu en as glané d’innombrables notions. Sans Mon incarnation, même si tu possédais d’extraordinaires talents, tu n’aurais pas tant de concepts ; et tes notions ne viennent-elles pas de ceux-ci ? Si Jésus ne S’était pas fait chair cette première fois, aurais-tu même une connaissance de cette incarnation ? N’est-ce pas parce que la première incarnation t’a donné la connaissance que tu as l’impudence d’essayer de juger la seconde incarnation ? Pourquoi la soumets-tu à l’étude au lieu d’être un disciple obéissant ? Quand tu es entré dans ce courant et es venu devant le Dieu incarné, t’autoriserait-Il à étudier cela ? Il est bien que tu étudies l’histoire de ta propre famille, mais si tu essaies d’étudier l’« histoire de famille de Dieu », le Dieu d’aujourd’hui t’autoriserait-Il à mener une telle étude ? N’es-tu pas aveugle ? Ne t’exposes-tu pas au mépris ?

 Si seulement l’œuvre de Jésus avait été réalisée sans être complétée par l’œuvre à cette étape des derniers jours, alors l’homme s’en tiendrait pour toujours à la notion que seul Jésus est le Fils unique de Dieu, c’est-à-dire, que Dieu n’a qu’un seul fils, et que, quiconque vient ensuite sous un autre nom ne serait pas le Fils unique de Dieu, encore moins Dieu Lui-même. L’homme a dans l’idée que quiconque sert de sacrifice d’expiation ou exerce le pouvoir au nom de Dieu et rachète toute l’humanité, est le Fils unique de Dieu. Certains croient que tant que Celui qui vient est un homme, Il peut être considéré comme le Fils unique de Dieu et représentant de Dieu, et certains disent même que Jésus est le Fils de l’Éternel, Son Fils unique. N’est-ce pas une notion sérieusement exagérée par l’homme ? Si cette étape de l’œuvre n’était pas réalisée à l’ère finale, alors l’humanité entière serait dissimulée sous un voile ténébreux en ce qui a trait à Dieu. Si tel était le cas, l’homme se considérerait comme supérieur à la femme et les femmes ne seraient jamais capables de garder la tête haute, et alors pas une seule femme ne pourrait être sauvée. Les gens continuent de croire que Dieu est un homme et, de plus, qu’Il a toujours méprisé la femme et qu’Il ne lui accorderait pas le salut. Si tel était le cas, ne serait-il pas vrai que toutes les femmes, qui ont été créées par l’Éternel et qui ont aussi été corrompues, n’auraient jamais la possibilité d’être sauvées ? Alors, n’aurait-il pas été inutile pour l’Éternel d’avoir créé la femme, c’est-à-dire, d’avoir créé Ève ? Et la femme ne périrait-elle pas pour l’éternité ? Pour cette raison, cette étape de l’œuvre des derniers jours doit être entreprise afin de sauver l’humanité entière, pas simplement la femme. Si quelqu’un pensait que si Dieu allait S’incarner comme femme, ce serait seulement pour sauver la femme, alors cet homme serait vraiment un idiot !

 L’œuvre réalisée à présent a fait progresser l’œuvre de l’ère de la Grâce ; c’est-à-dire que l’œuvre sous la totalité du plan de gestion de six mille ans a avancé. Bien que l’ère de la Grâce soit terminée, l’œuvre de Dieu a évolué. Pourquoi est-ce que Je ne cesse de répéter que cette étape de l’œuvre est bâtie sur l’ère de la Grâce et l’ère de la Loi ? Cela signifie que l’œuvre de ce jour est une suite de l’œuvre réalisée à l’ère de la Grâce et une avancée par rapport à celle réalisée à l’ère de la Loi. Les trois étapes sont intimement interconnectées et chaque maillon de la chaîne est fermement rattaché au suivant. Pourquoi est-ce que Je dis également que cette étape de l’œuvre est bâtie sur celle réalisée par Jésus ? En supposant que cette étape n’était pas bâtie sur l’œuvre réalisée par Jésus, une autre crucifixion devrait avoir lieu à cette étape et l’œuvre de rédemption de l’étape précédente devrait être entièrement réalisée à nouveau. Cela n’aurait aucun sens. Et ainsi, cela ne signifie pas que l’œuvre est complètement terminée, mais que l’ère a avancé et que le niveau de l’œuvre a été élevé à un niveau encore plus haut qu’avant. On peut dire que cette étape de l’œuvre est bâtie sur la fondation de l’ère de la Loi et sur le rocher de l’œuvre de Jésus. L’œuvre est bâtie étape par étape et cette étape n’est pas un nouveau départ. Seule la combinaison des trois étapes de l’œuvre peut être considérée comme étant le plan de gestion de six mille ans. L’œuvre de cette étape est réalisée sur la fondation de l’œuvre de l’ère de la Grâce. Si ces deux étapes de l’œuvre n’étaient pas liées, alors pourquoi la crucifixion n’est-elle pas répétée à cette étape ? Pourquoi est-ce que Je ne porte pas les péchés de l’homme ? Je ne viens pas par la conception du Saint-Esprit à cette étape et Je ne porte pas non plus les péchés de l’homme par la crucifixion ; au contraire, Je suis là pour châtier l’homme directement. Si Mon châtiment de l’homme et Ma venue actuelle sans la conception du Saint-Esprit ne suivaient pas la crucifixion, alors Je ne serais pas qualifié pour châtier l’homme. C’est précisément parce que Je ne forme qu’un avec Jésus que Je viens directement pour châtier et juger l’homme. L’œuvre à cette étape est entièrement bâtie sur l’œuvre de l’étape précédente. C’est pourquoi seule une œuvre de ce genre peut amener l’homme, pas à pas, au salut. Jésus et Moi venons d’un seul Esprit. Même si Nous ne sommes pas liés dans Nos chairs, Nos Esprits ne forment qu’un ; même si le contenu de ce que Nous faisons et l’œuvre que Nous assumons ne sont pas identiques, Nous sommes semblables en essence. Nos chairs revêtent des apparences différentes, mais cela est dû au changement d’ère et aux exigences différentes de Notre œuvre ; Nos ministères ne sont pas similaires, donc l’œuvre que Nous façonnons et le tempérament que Nous révélons à l’homme sont également différents. C’est la raison pour laquelle ce que l’homme voit et comprend en ce jour est différent de ce qu’il en était dans le passé ; il en est ainsi en raison du changement d’ère. Car malgré toutes les différences de genre et d’apparence de Leurs chairs, et bien qu’Ils ne proviennent pas de la même famille, encore moins de la même période, Leurs Esprits ne forment pourtant qu’un. Car bien que Leurs chairs ne partagent ni lien du sang ni lien de parenté quels qu’ils soient, on ne peut nier qu’Ils sont l’incarnation de Dieu à deux époques différentes. Le fait qu’Ils soient les chairs incarnées de Dieu est une vérité irréfutable, même s’Ils ne sont pas de la même lignée et ne partagent pas un langage humain commun (l’un était un homme qui parlait la langue des Juifs et l’autre une femme qui parle exclusivement le chinois). C’est pour ces raisons qu’Ils ont vécu dans des pays différents pour réaliser l’œuvre qu’il incombe à chacun de réaliser, et aussi à des époques différentes. Bien qu’Ils soient le même Esprit, possèdent la même essence, il n’y a absolument pas de ressemblance parfaite dans l’enveloppe extérieure de Leurs chairs. Tout ce qu’Ils partagent est la même humanité, mais en ce qui concerne l’apparence extérieure de Leurs chairs et les circonstances de Leur naissance, Ils sont différents. Ces éléments n’ont pas d’impact sur Leur œuvre respective ou sur la connaissance qu’a l’homme à Leur sujet car, en fin de compte, Ils sont le même Esprit et personne ne peut Les séparer. Même s’Ils ne sont pas liés par le sang, Leurs êtres entiers sont pris en charge par Leurs Esprits, ce qui leur assigne une œuvre différente à des périodes différentes. Leurs Chairs viennent d’une lignée différente, tout comme l’Esprit de l’Éternel n’est pas le père de l’Esprit de Jésus et l’Esprit de Jésus n’est pas le fils de l’Esprit de l’Éternel. Ils ne sont qu’un seul et même Esprit. De même, le Dieu incarné d’aujourd’hui n’est pas lié à Jésus par le sang, et pourtant Ils ne sont qu’un ; c’est parce que Leurs Esprits ne sont qu’un. Dieu peut réaliser l’œuvre de miséricorde et de bonté, ainsi que celle du jugement juste et du châtiment de l’homme, et celle appelant la malédiction sur l’homme ; et finalement, Il peut réaliser l’œuvre de destruction du monde et de punition des méchants. Ne fait-Il pas tout cela Lui-même ? Cela n’est-il pas la toute-puissance de Dieu ? Il a été capable à la fois de promulguer des lois pour l’homme et de lui édicter des commandements, et Il a aussi été capable de guider les premiers Israélites à vivre leur vie sur terre et de les aider à construire le temple et les autels, retenant tous les Israélites sous Sa domination. En S’appuyant sur Son autorité, Il a vécu sur terre avec le peuple d’Israël pendant deux mille ans. Les Israélites n’ont pas osé se rebeller contre Lui ; tous ont révéré l’Éternel et ont observé Ses commandements. C’était l’œuvre qui a été réalisée en S’appuyant sur Son autorité et Sa toute-puissance. Alors, pendant l’ère de la Grâce, Jésus est venu pour racheter l’ensemble de l’humanité déchue (et pas seulement les Israélites). Il a montré miséricorde et bonté envers l’homme. Le Jésus que l’homme a vu à l’ère de la Grâce était plein de bonté et était toujours aimant envers l’homme, car Il était venu pour sauver l’humanité du péché. Il a été capable de pardonner aux hommes leurs péchés jusqu’à ce que Sa crucifixion rachète complètement l’humanité du péché. Pendant cette période, Dieu est apparu devant l’homme avec miséricorde et bonté ; c’est-à-dire qu’Il est devenu un sacrifice d’expiation pour l’homme et a été crucifié pour les péchés de l’homme afin qu’il soit pardonné pour l’éternité. Il était miséricordieux, compatissant, constant et aimant. Et tous ceux qui ont suivi Jésus à l’ère de la Grâce ont cherché à être constants et aimants en toutes choses. Ils ont souffert pendant longtemps, mais n’ont jamais répliqué même lorsqu’ils étaient battus, maudits ou lapidés. Mais il ne peut plus en être ainsi pendant l’étape finale. De la même façon, même si Leurs Esprits étaient un, l’œuvre de Jésus et l’œuvre de l’Éternel n’étaient pas entièrement identiques. L’œuvre de l’Éternel n’avait pas pour but de mettre fin à l’ère, mais de la guider, introduisant la vie de l’homme sur terre. Cependant, l’œuvre actuellement en cours est la conquête de ceux qui, dans les nations païennes, ont été profondément corrompus, et de guider non pas seulement la famille de Chine, mais l’univers entier. Il peut te sembler que cette œuvre n’est réalisée qu’en Chine, mais en fait, elle a déjà commencé à se répandre à l’étranger. Comment se fait-il que les étrangers cherchent constamment le vrai chemin ? La raison en est que l’Esprit a déjà commencé l’œuvre et les paroles qui sont actuellement prononcées S’adressent aux gens à travers tout l’univers. De cette façon, la moitié de l’œuvre est déjà en cours. Depuis la création du monde jusqu’à ce jour, l’Esprit de Dieu a mis en marche cette grande œuvre et, de plus, a réalisé différentes œuvres au cours de différentes ères et dans différentes nations. Les personnes de chaque ère voient en Lui un tempérament différent qui est naturellement révélé à travers les différentes œuvres qu’Il réalise. Il est Dieu, plein de miséricorde et de bonté ; Il est le sacrifice d’expiation pour l’homme et le berger de l’homme ; mais Il est aussi le jugement, le châtiment et la malédiction de l’homme. Il a pu conduire l’homme à vivre sur terre pendant deux mille ans et Il a pu aussi racheter du péché l’humanité corrompue. Aujourd’hui, Il est aussi capable de conquérir l’humanité qui ne Le connaît pas et de la faire se prosterner sous Sa domination, de sorte que tous se soumettent à Lui entièrement. Finalement, Il consumera tout ce qui est Souillé et injuste dans les hommes à travers l’univers, pour leur montrer qu’Il n’est pas seulement un Dieu miséricordieux et aimant, pas seulement un Dieu de sagesse et de merveilles, pas seulement un Dieu saint, mais encore davantage, un Dieu qui juge l’homme. Envers les méchants de l’humanité, Il est flamme, jugement et punition ; envers ceux qui doivent être rendus parfaits, Il est tribulation, épurement et épreuve, ainsi que réconfort, nourriture, provision de paroles, traitement et émondage. Et envers ceux qui sont éliminés, Il est punition et aussi rétribution. Dis-moi, Dieu n’est-Il pas tout-puissant ? Il est capable de toutes les œuvres possibles, pas seulement la crucifixion comme tu l’as imaginé. Tu as une image trop piètre de Dieu ! Penses-tu que tout ce qu’Il puisse faire c’est de racheter l’humanité entière à travers Sa crucifixion et rien d’autre ? Et ensuite, tu Le suivras jusqu’au ciel pour goûter au fruit de l’arbre de vie et boire au fleuve de vie ? … Cela serait-il aussi simple ? Dis-Moi, qu’as-tu accompli ? As-tu la vie de Jésus ? En effet, tu as été racheté par Lui, mais la crucifixion était l’œuvre de Jésus Lui-même. Quel devoir as-tu accompli en tant qu’homme ? Ta pitié n’est qu’apparente, mais tu ne comprends pas Sa voie. Est-ce ainsi que tu Le manifestes ? Si tu n’as pas atteint la vie de Dieu ou vu l’intégralité de Son tempérament juste, alors tu ne peux pas prétendre être quelqu’un qui a la vie et tu n’es pas digne de franchir la porte du royaume des cieux.

 Dieu est non seulement un Esprit, Il peut aussi devenir chair ; Il est, de plus, un corps de gloire. Jésus, bien que vous ne L’ayez pas vu, a été attesté par les Israélites, c’est-à-dire les Juifs de l’époque. Au départ, Il était un corps de chair, mais après Sa crucifixion, Il est devenu un corps de gloire. Il est l’Esprit qui englobe tout et peut œuvrer en tout lieu. Il peut être l’Éternel ou Jésus ou Le Messie ; finalement, Il peut aussi devenir Dieu Tout-Puissant. Il est la justice, le jugement et le châtiment ; Il est la malédiction et la colère ; mais Il est aussi la miséricorde et la bonté. Toute l’œuvre qu’Il a réalisée est en mesure de Le représenter. Quel genre de Dieu dis-tu qu’Il est ? Tune seras tout simplement pas capable de l’expliquer. Tout ce que tu peux dire, c’est la chose suivante : « Quant à savoir quel genre de Dieu Il est, Je suis incapable de l’expliquer. » N’en conclus pas que Dieu est à jamais un Dieu de miséricorde et de bonté, simplement parce qu’Il a réalisé l’œuvre de rédemption en une étape. Peux-tu être certain qu’Il n’est qu’un Dieu miséricordieux et aimant ? S’Il est un Dieu miséricordieux et aimant, pourquoi mettra-t-Il un terme à l’ère dans les derniers jours ? Pourquoi enverra-t-Il tant de calamités ? Si c’est comme tu le penses, qu’Il est miséricordieux et aimant envers l’homme jusqu’au bout, même jusqu’à l’ère finale, alors pourquoi va-t-Il envoyer des calamités depuis les cieux ? S’Il aime l’homme comme Lui-même et comme Son fils unique, alors pourquoi va-t-Il envoyer des épidémies et des grêlons depuis les cieux ? Pourquoi laisse-t-Il l’homme souffrir de la famine et de la peste ? Pourquoi laisse-t-Il l’homme souffrir ces calamités ? Quant à savoir quel genre de Dieu Il est, nul d’entre vous n’ose le dire et personne n’est capable de l’expliquer. Peux-tu être certain qu’Il est l’Esprit ? Oses-tu dire qu’Il n’est autre que la chair de Jésus ? Et oses-tu dire qu’Il est un Dieu qui sera à jamais crucifié à cause de l’homme ?

 Extrait de « La Parole apparaît dans la chair »

 Note de bas de page :

 a. Le texte original ne comprend pas les mots « l’œuvre de ».

 Source : L'Église de Dieu Tout-Puissant

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