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Dieu est Bon
9 mars 2020

Quelles sont les différences entre faire son devoir et rendre service ?

Paroles de Dieu concernées :

Il n’y a pas de corrélation entre le devoir de l’homme et le fait qu’il soit béni ou maudit. Le devoir est ce que l’homme doit accomplir ; c’est son devoir impérieux et ne devrait pas dépendre de la récompense, des conditions ou des raisons. C’est seulement ça faire son devoir. Un homme qui est béni jouit de la bonté après avoir été perfectionné suite au jugement. Un homme qui est maudit reçoit la punition quand son tempérament demeure inchangé suite au châtiment et au jugement, c’est-à-dire, il n’a pas été perfectionné. Comme un être créé, l’homme doit s’acquitter de son devoir, faire ce qu’il doit faire et faire ce qu’il est capable de faire, indépendamment du fait qu’il sera béni ou maudit. C’est la condition fondamentale pour l’homme, en tant qu’être qui cherche Dieu. Tu ne devrais pas remplir ton devoir seulement pour être béni, et tu ne devrais pas non plus refuser d’agir par peur d’être maudit. Laissez-Moi vous dire la chose suivante : si l’homme est capable de remplir son devoir, cela signifie qu’il s’acquitte de ce qu’il doit faire. Si l’homme est incapable de remplir son devoir, cela révèle la rébellion de l’homme. C’est toujours à travers le processus par lequel il remplit son devoir que l’homme change progressivement, et c’est à travers ce processus qu’il démontre sa fidélité. Ainsi, plus tu es capable de remplir ton devoir, plus tu recevras de vérités, et c’est ainsi que ton expression deviendra plus réelle. Ceux qui n’agissent qu’en apparence pour remplir leur devoir et ne cherchent pas la vérité seront éliminés à la fin, car de tels hommes ne remplissent pas leur devoir dans la pratique de la vérité, et ne pratiquent pas la vérité pendant qu’ils s’acquittent de leur devoir. De tels hommes sont ceux qui ne changent pas et ils seront maudits. Non seulement leurs expressions sont impures, mais aussi ce qu’ils expriment n’est que de la méchanceté.

Extrait de « La différence entre le ministère du Dieu incarné et le devoir de l’homme », dans La Parole apparaît dans la chair

Quels que soient les talents, les dons ou les compétences que les gens possèdent, ils utilisent simplement leur force pour accomplir leur devoir et faire les choses. Quoi qu’ils fassent, ils se fient à leur imagination, à leurs notions ou à leur propre instinct. Ils ne cherchent jamais la volonté de Dieu, ils n’ont pas de concept ni de besoins dans leur cœur et disent : « J’accomplis mon devoir. Je dois mettre la vérité en pratique. » Bien faire leur travail et achever leur tâche est l’unique point de départ de leur réflexion. Alors, une telle personne vit-elle entièrement de ses dons, talents, capacités et compétences ? Dans leur foi, les personnes de ce genre ne pensent qu’à utiliser leur force, qu’à vendre leur propre travail, qu’à vendre leurs propres compétences. La plupart des gens appréhendent les choses suivant cette perspective particulièrement lorsque la maison de Dieu leur donne des tâches générales à accomplir. Tout ce qu’ils font, c’est de s’efforcer. Parfois, cela signifie utiliser leur bouche, parfois, c’est utiliser leurs mains et leur force physique, parfois, c’est utiliser leurs yeux, et parfois, c’est courir en tous sens. Pourquoi dit-on que vivre comme cela, c’est utiliser sa force et ne pas mettre la vérité en pratique ? La maison de Dieu confie une tâche à des hommes, et ils ne pensent qu’à la façon de terminer cette tâche le plus vite possible afin qu’ils puissent en rendre compte aux dirigeants d’Église et recevoir leurs éloges. Il se peut qu’ils proposent un plan précis. Ils semblent être très sincères, mais, dans un souci de paraître, ils se concentrent uniquement sur la finalisation de leur tâche ou, lorsqu’ils l’accomplissent, ils fixent pour eux-mêmes leur propre norme, c’est-à-dire, la façon de l’accomplir pour qu’ils se sentent heureux et satisfaits, et qu’ils atteignent le niveau de perfection auquel ils aspirent. Quel que soit le plan ou la norme qu’ils établissent, s’il n’y a pas de lien avec la vérité, s’ils ne cherchent pas la vérité ou ne cherchent pas à comprendre ni à approuver ce que Dieu leur demande avant de passer à l’action, mais au contraire, s’ils agissent aveuglément, confusément, ils ne font rien d’autre que s’efforcer. Ils agissent suivant leurs propres désirs, suivant leur propre intelligence ou leurs propres dons, ou suivant leurs propres capacités et compétences. Et quelle est la conséquence d’accomplir sa tâche de cette façon ? La tâche a peut-être été accomplie, personne n’a peut-être relevé de fautes et tu en es peut-être très satisfait, mais en la réalisant, premièrement, tu n’as pas compris l’intention de Dieu, et deuxièmement, tu ne l’as pas réalisée de tout ton cœur, de tout ton esprit et de toute ta force : tu n’y as pas mis tout ton cœur. Si tu avais cherché les principes de la vérité, si tu avais cherché la volonté de Dieu, alors tu aurais été efficace à 90 % en la réalisant, tu aurais aussi été capable d’entrer dans la réalité de la vérité, et tu aurais compris précisément que ce que tu faisais était conforme à la volonté de Dieu. Mais si tu avais été négligent et désordonné, bien qu’ayant terminé la tâche, dans ton cœur, tu ne saurais pas clairement à quel point tu l’as bien menée. Vous n’auriez aucune référence, vous ne sauriez pas si elle était conforme ou non à la volonté de Dieu, ou si elle était conforme ou non à la vérité. Par conséquent, à chaque fois que tu accomplis un devoir dans une telle disposition, un terme peut te caractériser : effort. […]

Tous ceux qui croient en Dieu devraient comprendre Sa volonté. Seuls ceux qui accomplissent leurs devoirs correctement peuvent satisfaire Dieu et ce n’est qu’en réalisant les tâches qu’Il leur confie que l’accomplissement de leurs devoirs sera à la hauteur. Lors de l’accomplissement d’une tâche, quand les hommes ne mettent pas la vérité en pratique ou ne recherchent pas la vérité, quand ils ne dévouent pas leur cœur à la vérité, c’est-à-dire qu’ils utilisent simplement leur cerveau pour mémoriser, qu’ils utilisent simplement leurs mains pour agir et qu’ils utilisent simplement leurs jambes pour courir, alors ils n’ont pas véritablement accompli le mandat de Dieu. Il y a des normes pour l’accomplissement du mandat de Dieu. Quelles sont les normes ? Le Seigneur Jésus a dit : « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force. » Aimer Dieu est l’une des choses que Dieu exige des hommes. En fait, quand Dieu confie aux hommes un mandat, lorsqu’ils accomplissent avec foi leur devoir, les normes qu’Il leur pose sont les suivantes : de tout votre cœur, de toute votre âme, de tout votre esprit et de toutes vos forces. Si tu es présent, mais que ton cœur ne l’est pas, si tu penses aux tâches avec ta tête et les gardes en mémoire, mais que tu n’y mets pas ton cœur, et si tu accomplis des choses en utilisant tes propres capacités, est-ce cela accomplir le mandat de Dieu ? Donc, quel type de norme devez-vous respecter pour accomplir correctement votre devoir et accomplir ce que Dieu vous a confié, et pour réaliser votre devoir loyalement ? Il s’agit de faire votre devoir de tout votre cœur, de toute votre âme, de tout votre esprit et de toutes vos forces. Si tu n’as pas un cœur qui aime Dieu, alors t’efforcer d’accomplir ton devoir correctement ne fonctionnera pas. Si ton amour pour Dieu s’affermit de plus en plus et devient toujours plus authentique, alors tu seras naturellement capable d’accomplir ton devoir de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ta force.

Extrait de « Ce dont vivent simplement les gens », dans Récits des entretiens de Christ

Pour certains hommes, peu importe le problème qu’ils rencontrent en accomplissant leurs devoirs, ils ne cherchent pas la vérité et agissent toujours en fonction de leurs propres notions, imaginations et désirs. Ils assouvissent toujours leurs propres désirs égoïstes, et leur tempérament corrompu domine toujours leurs actions. Même s’ils mènent à bien le devoir qui leur est assigné, ils ne gagnent aucune vérité. Alors, de quoi dépendent-ils quand ils accomplissent leur devoir ? Ils ne dépendent pas de la vérité et ils ne se fient pas à Dieu. La parcelle de vérité qu’ils comprennent n’a pas pris possession de leur cœur. Ils se fient à leurs propres dons et capacités, à la connaissance qu’ils ont acquise et à leurs talents, et aussi à leur propre volonté ou à leurs bonnes intentions, pour mener à bien ce devoir. Même si, parfois, vous vous fiez à votre nature, à vos imaginations et à vos notions, à votre connaissance et à votre savoir lorsque vous accomplissez votre devoir, la question du principe n’apparaît pas dans les choses que vous faites. En apparence, vous ne semblez pas avoir pris le mauvais chemin, mais il y a une chose qui ne peut être ignorée : pendant tout le processus de réalisation de ton devoir, si tes notions, tes imaginations et tes désirs personnels ne changent nullement et ne sont jamais remplacés par la vérité, si tes faits et gestes ne sont jamais conformes aux principes de la vérité, alors quel en sera le résultat final ? Vous deviendrez des exécutants, et c’est justement écrit dans la Bible : « Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? n’avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité. »

Extrait de « Comment faire l’expérience des paroles de Dieu dans ses devoirs », dans Récits des entretiens de Christ

Pierre a été perfectionné en passant par le traitement et l’épurement. Il a dit : « Je dois satisfaire la volonté de Dieu en tout temps. Dans tout ce que je fais, je ne cherche qu’à satisfaire la volonté de Dieu, et que je sois châtié, ou jugé, je suis toujours heureux de le faire ». Pierre a tout donné à Dieu, et son travail, ses paroles et sa vie entière étaient tous consacrés à l’amour de Dieu. Il était quelqu’un qui cherchait la sainteté, et plus il en a fait l’expérience, plus grand était l’amour qu’il avait pour Dieu au fond de son cœur. Paul, quant à lui, n’a fait que le travail de l’extérieur, et bien qu’il ait également travaillé d’arrache-pied, son labeur visait à faire son travail correctement et à recevoir ainsi une récompense. S’il avait su qu’il ne recevrait aucune récompense, il aurait abandonné son travail. Ce dont se souciait Pierre, c’était le véritable amour dans son cœur, et celui qui était pratique et pouvait être réalisé. Il ne se souciait pas de savoir s’il recevrait une récompense, mais de savoir si son tempérament pouvait être transformé. Paul pensait même à toujours travailler plus dur, il se souciait du travail extérieur et de la dévotion, et des doctrines qui n’étaient pas connues des gens ordinaires. Il ne se souciait pas des changements profonds qui s’opéraient en lui et d’un véritable amour de Dieu. Les expériences de Pierre visaient à accéder à un véritable amour et à une vraie connaissance de Dieu. Ses expériences visaient à le rapprocher plus étroitement de Dieu et à arriver à mener une vie pratique. Le travail de Paul avait pour cause ce qui lui avait été confié par Jésus, et avait pour but d’obtenir les choses auxquelles il aspirait, mais celles-ci n’étaient pas en rapport avec la connaissance qu’il avait de lui-même et de Dieu. Son travail visait seulement à lui faire échapper au châtiment et au jugement. Ce que Pierre cherchait était l’amour pur, et ce que Paul cherchait était la couronne de justice. Pierre a fait l’expérience de nombreuses années de l’œuvre du Saint-Esprit, et avait une connaissance pratique de Christ, ainsi qu’une profonde connaissance de lui-même. Et ainsi, son amour pour Dieu était pur. De nombreuses années d’épurement avaient élevé sa connaissance de Jésus et de la vie, et son amour était un amour inconditionnel, c’était un amour spontané, et il ne demandait rien en retour, de même qu’il n’espérait en tirer aucun avantage. Paul a travaillé pendant de nombreuses années, mais il n’avait pas une grande connaissance de Christ et sa connaissance de lui-même aussi était lamentablement petite. Il n’avait tout simplement pas d’amour pour Christ, et son travail et la course qu’il effectuait visaient à décrocher le laurier final. Ce qu’il cherchait, c’était la plus belle couronne, et non le plus pur amour. Il ne cherchait pas activement, mais passivement ; il ne remplissait pas son devoir, mais il était contraint dans sa quête après avoir été saisi par l’œuvre du Saint-Esprit. Et par conséquent, sa quête ne prouve pas qu’il soit qualifié pour être une créature de Dieu ; c’est Pierre qui était qualifié pour être une créature de Dieu et qui a rempli son devoir.

Extrait de « Succès ou échec dépendent du chemin que l’homme emprunte », dans La Parole apparaît dans la chair

Le travail de Paul se limite à répondre aux besoins des Églises et à soutenir les Églises. Ce qu’a connu Pierre, ce sont des changements dans son tempérament, il a connu l’amour de Dieu. Maintenant que tu connais les différences qu’il y a entre leur essence, tu peux voir qui, en fin de compte, a véritablement cru en Dieu, et qui n’a pas véritablement cru en Dieu. L’un d’eux a vraiment aimé Dieu, et l’autre n’a pas vraiment aimé Dieu ; l’un a subi des changements dans son tempérament, et l’autre pas ; l’un servait humblement, et les gens ne le remarquaient pas facilement ; et l’autre était adoré par les gens, et avait une grande image ; l’un a cherché la sainteté, et l’autre pas, et quoiqu’il ne fût pas impur, il n’était pas animé d’un amour pur ; l’un possédait la véritable humanité, et l’autre pas ; l’un était animé du sentiment d’une créature de Dieu, et l’autre pas. Telles sont les différences d’essence entre Paul et Pierre. Le chemin que Pierre a emprunté est le chemin du succès, qui est également le chemin menant au rétablissement de l’humanité normale et du devoir d’une créature de Dieu. Pierre représente tous ceux qui connaissent le succès. Le chemin emprunté par Paul est le chemin de l’échec, et Paul représente tous ceux qui ne se soumettent et ne se dépensent que superficiellement et n’aiment pas véritablement Dieu. Paul représente tous ceux qui ne possèdent pas la vérité.

Extrait de « Succès ou échec dépendent du chemin que l’homme emprunte », dans La Parole apparaît dans la chair

Extraits de sermons et d’échanges pour référence :

Tous ceux qui ne sont pas entrés dans le bon chemin de la foi en Dieu, ceux dont le tempérament de vie n’a fait l’expérience d’aucun changement quel qu’il soit et qui ne comprennent rien à la vérité, tant qu’ils se fient à leur enthousiasme, et à leur motivation pour obtenir des bénédictions et qu’ils consentent à faire un petit effort, alors ceux-là peuvent faire du service. Une fois que quelqu’un comprend un peu la vérité, a une véritable foi en Dieu, n’a plus le moindre doute au sujet de Dieu, possède une compréhension de l’œuvre de Dieu, voit que l’objectif de l’œuvre de Dieu est de sauver et de parfaire entièrement les hommes et peut voir que l’amour de Dieu pour l’homme est vraiment grand, et a développé un cœur qui aime Dieu et un cœur qui rend l’amour que Dieu lui donne, alors les devoirs que ce genre de personne accomplit peuvent être qualifiés d’actes bons. Les devoirs que cette personne accomplit, au lieu d’être reconnus comme des services, peuvent officiellement être considérés comme des devoirs accomplis par une des créations de Dieu. Accomplir des devoirs signifie que l’on consent à accomplir ses devoirs comme un moyen de rendre l’amour de Dieu. Voilà la différence entre accomplir des devoirs et faire du service. L’intention n’est pas la même. L’état et la condition à l’intérieur du cœur ne sont pas les mêmes. Faire du service est réalisé dans l’intérêt d’obtenir des bénédictions et pour satisfaire son enthousiasme. Accomplir véritablement son devoir se base sur une compréhension de la vérité. Cela repose sur la compréhension selon laquelle les êtres créés accomplissant leurs devoirs constituent la loi du ciel, et c’est sur le fondement de la connaissance de l’amour de Dieu et sur le désir de rendre cet amour à Dieu que naît le désir d’accomplir son devoir. C’est ce que signifie accomplir véritablement et correctement ses devoirs.

Extrait de « La signification importante de la préparation des bonnes œuvres », dans Sermons et échange sur l’entrée dans la vie II

Tous les gens qui se concentrent sur la vie et cherchent à être le peuple de Dieu peuvent accepter l’accomplissement de leur devoir comme une responsabilité qui ne peut être éludée ; ils le font pour rendre à Dieu Son amour. Ils ne marchandent pas sur les récompenses dans l’accomplissement de leur devoir et ils n’ont aucune exigence. Tout ce qu’ils font peut être considéré comme un devoir accompli. Au mieux, ceux qui font partie de la catégorie des exécutants font un petit effort pour apaiser Dieu afin d’être bénis. Leur foi est entachée. Ils n’ont ni conscience ni raison, et ils poursuivent encore moins la vérité ou la vie. Parce qu’ils peuvent voir à quel point ils sont terribles de nature et donc ne pourraient absolument pas devenir le peuple de Dieu, ils abandonnent leur quête de devenir le peuple de Dieu, vivant toujours dans un état de négativité. Par conséquent, tout ce qu’ils font, c’est de rendre un service parce qu’ils sont liés par leur propre concept déformé de la volonté de Dieu. Le chemin emprunté par un individu détermine s’il accomplit son devoir ou s’il rend un service. S’il cherche la vérité et se concentre sur la vie, accomplit bien son devoir pour rendre à Dieu Son amour et satisfaire Dieu, et travaille dur pour atteindre l’objectif d’être un membre du peuple de Dieu, si cette sorte de vision est son soutien, alors il accomplit certainement son devoir. Tous ceux qui manquent de vérité, qui désespèrent et vivent dans un état de négativité, se contentant de faire un petit effort pour amadouer et séduire Dieu, sont le genre de gens qui rendent seulement un service. Il est clair que tous les exécutants sont vraiment des gens sans conscience ni raison, et qu’ils ne cherchent pas la vérité et ne possèdent pas la vie. Ainsi, il est évident que ceux qui ne sont pas résolus, qui ne cherchent pas la vérité et ne se concentrent pas sur la vie ne méritent peut-être même pas d’être des exécutants. Leur nature est terrible ; ils ne veulent pas accepter la vérité et ne croient pas en Dieu. Ils entretiennent même des doutes sur les paroles de Dieu. C’est précisément leur propre tromperie qui les achève. Si quelqu’un est vraiment un exécutant, il doit toujours bien servir et ne pas être superficiel ni négligent. Cela seul peut le qualifier pour être un exécutant qui reste ; cela le rendrait très chanceux. Vraiment devenir un exécutant n’est pas une mince affaire.

Extrait de l’échange du supérieur

Source : L'Église de Dieu Tout-Puissant

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